Ode à Tschernobyl, il y a 25 ans...

Ode à Tschernobyl, il y a 25 ans... et,
d’aujourd’hui, à “Fukushima mon amour”...
demain, à qui le tour ?

Récit de Belzébuth à sa petite-fille,
“Les nucléocrates”, et la “beauté du diable”,

Caciques d’un clergé maudits de ces “temples-infernaux” (comme d’autres plus ambiguë), ils ont “œuvré” en dehors de toutes décisions démocratiques consultatives et participatives, dans la subversion de la pantomime du vote représentatif détourné, qui n’est plus interprété par eux, que comme un “blanc-seing”. Ils ont entériné le pacte passé avec les “démons du corps de peur” des êtres, l’attachement à la jouissance que procure “la richesses des biens, du pouvoirs de briser les autres et de les soumettre, briller dans le paraître... pour quelques temps”, l’éphémère du temporel immédiat.
Qu’importe ce que sera demain, jouissons, jouissons, quand bien même nous laisserons à nos enfants et générations à venir, des contrées entières de terres stériles, dans le cloaque anarchique des structures d’atomes mutantes des organismes du vivant, imprévisibles, ingérables. A quand la disparition et l’interdiction de circuler sur les terres des Côtes-de-Blaye (centrale nucléaire du Blayais) et du Bordelais, ou des crus d’Alsace, Rhin-Vignoble-Grand Ballon (centrale nucléaire de Fessenheim), ou encore ceux de Tourraine (centrale de Chinon), et ses vins légers (bien que assez “charpentés”) et fleuris de Bourgueil ! Et les bestioles... le règne végétal, comment allons nous faire pour leurs dire qu’il ne faut plus aller dans ces endroits maudits ! Rabelais où es-tu ?
Voilà en fait ce que l’on peut dire de l’égoïsme aveugle, poussé à son paroxysme d’orgueil criminel le plus acerbe, le plus abject, décisions imposées en catimini par l’irrépressible soif d’ambitions dans les années 1970/80 et suites, de mensonges et dissimulations, et ce à l’humanité et tout le vivant de cette planète Terre.
C’est une grave erreur que de considérer les choses que du point de vue de “son petit bout de près carré”, aussi “grandiose” que l’on puisse le concevoir, cela ne reste que de petits intérêts à raz-de-terre, “d’esprit de chapelles et de clochers”, et de : “après moi le déluge”, du rien à foutre de rien, ni de qui ou quoi que ce soit, pourvu que pour “mon moi” et de “mon clan-sur-moi”, ça beigne dans le business, dans l’immédiat, en “priant” que les problèmes tombent sur la “tronche” des autres plutôt que la sienne ! Nous sommes en passe de devenir les êtres déchus d’une humanité qui n’est plus viable ! Notre faillite humaine rôde, hyène malfaisante, nous sommes devenus de véritables irresponsables infantiles, hypnotisés par nos “peurs”, incapables de nous affranchir de la “fascination” de nos abominables “nombrilisme” divers, avides. Nous sommes en état de “rupture subversive” du vivant, ne l’avons donc nous pas compris ? Où faudra-t-il les chocs terribles qui engendreront la stupeur, quand la Terre s’ébrouera tôt ou tard, comme cela lui arrive de temps à autres dans les cycles de sa propre vie, pour nous rendre compte peut être trop tard, que nous avons été trop loin dans notre propre déchéance d’être ! La “marchandisation” systématique et outrancière de tout, et du vivant, entre les mains des circuits économiques des banques, érigé en “ordre suprême” de l’organisation décisionnelle de notre monde, sera notre perte.
A ta santé “Bélzébuth” !

P.S. : Soirée spéciale Arte “Tschernobyl” mardi 26 avril à 20h 40, “Tchernobyl forever” et “Tchernobyl, l’histoire sans fin” à 21h 35... suivit de “l’Europe et Tchernobyl”.
— Aussi je suggère au fin-fond de mon “inutilité” et de “ma mécréance” en ces “temps Pascal”, que les diverses institutions honorables qui nous abreuvent de leurs rhétoriques religieuses savantes (les couvres-chefs qu’ils portent en attestent !) à travers notre pauvre monde “d’idiotas”, de participer activement à la quête (eux qui en sont si friands !) internationale pour réunir les fonds nécessaires aux fins d’un nouveau coffrage du “sarco-sy-phage” de la centrale nucléaire de Tschernobyl, dont les seuls actifs de la la Lignée Kamtsang-Kagyu par exemple, suffiraient aux dernières informations, soit un milliard et demi de dollars de valeurs... quand même ! Et ce pour le “bien” de toute notre planète. Ce n’est pas le tout de “sauver” les mouches qui se noient dans notre assiette de potage, mais bon, à un moment donné, il faut quand même être sérieux et crédible... sur ce...
Joyeuses fêtes de Pâques ! Et pardonnez-moi cet “égarement” de langage... ce coup de “black”, la coupe “du Graal” et pleine... et déborde... nos sociétés ont besoin d’énergies, mais pas à ce prix là ! Celui du “désastre très, très durable” !

EVIV BULGROZ !

La “beauté du diable” : Ange ou démon ?

Nous laisserons à nos enfants et générations à venir :
Temples-infernaux, d’autres plus ambiguës,
décisions démocratiques consultatives et participatives ?
Subversion, peur, jouissance
la richesses des biens du pouvoir éphémère,
égoïsme , paroxysme
subversion ,mensonges et dissimulations.
L’humanité, vivant d’esprit de chapelles et de clochers .
La “marchandisation” systématique : potage, mais bon !!
Des circuits économiques des banques, notre faillite humaine.
Participer activement à la quête, la coupe “du Graal”
nos sociétés ont besoin d’énergies.

25 ans après, les retombées de Tchernobyl restent un danger pour l'environnement

http://www.france24.com/fr/20110424-25-ans-apres-retombees-tchernobyl-restent-danger-lenvironnement

çà ne m'etonnes pas.

re-Bonjour,

... « Tchernobyl forever »...
Conclusion du commentaire du directeur technique du site de Tchernobyl à la fin du documentaire :
... « il nous faut bien comprendre que les vastes territoires contaminés au plutonium, resterons inhabitable pour des siècles, voire des millénaires... »...
Nous apprenons également dans ce documentaire, que ce site va coûter cher à la communauté mondiale, pour des dizaines d’années du fait de la complexité des problèmes à résoudre dont bon nombres restent à ce jour dans “le non connu” scientifique, l’accès au “cœur de la fusion” inaccessible en l’état rendant encore tout plus aléatoire. Et si la coupe de foot de l’Euro 2012 à déjà permis à Kiev de réunir une douzaine de milliards d’euro, à peine la moitié d’un à été réuni pour l’ensemble du caisson de confinement dont les travaux commencent tout juste au bout de 25 ans, et très lentement et laborieusement...
Fukushima, reste pour l’heure dans son “aura de sortilèges maudits”, dont personne ne sait aujourd’hui ce qu’il en est précisément, alors le “futur”... !
Je me demande aujourd’hui si nous sommes une “espèce” viable à terme sur cette Terre !?